Cette simple phrase, "Travailler plus pour gagner plus", me semble tout à fait contraire à l'esprit de la DDHC de 1789.
Il semble évident que rien n'empêche quiconque de travailler plus s'il le souhaite, sous certaines conditions bien sûr. Conditions qui me semblent largement jetée aux oubliettes.
1 - Que ces heures supplémentaires n'empiètent pas sur la liberté des autres et leur droit au travail. Dans une entreprise de 10 salariés, si chacun fait une heure de travail supplémentaire par jour tout au long de l'année, il devient évident que c'est du travail en moins pour une personne qui aurait pu faire ces heures. Le chef d'entreprise est roi au sein de son entreprise et nul ne peut lui dicter ce qu'il est raisonnable ou moral de faire ou non. Dans cet exemple, simple d'apparence, il ne viol donc aucune loi.
Allons plus loin dans la besogne pour découvrir qui est responsable d'un tel choix peu moral et où le profit, une fois de plus, est cause de bien des malheurs...
Le choix est donc donné à l'employeur, soit il embauche, soit il propose à son propre personnel des heures supplémentaires. Comme ces dernières sont déductibles des impôts, le choix économique prime sur la moralité, puisque d'embaucher une personne supplémentaire serait nettement plus coûteux. Voilà une des conséquences des décisions du gouvernement et qui, en temps de crise, n'aidera sûrement pas à faire baisser le chômage, bien au contraire.
Le peuple est poussé à la consommation, avec possibilité d'endettement presque illimité et ceci au plus grand bénéfice des grosses entreprises, créant ainsi des fin de mois difficiles et poussant ce peuple à toujours travailler plus. Un cercle des plus vicieux où l'homme ne devient plus qu'un robot matérialiste obnubilé à survivre coûte que coûte pour boucler ses fins de mois.
Plus il travail, moins il pense et moins il pense, plus il devient un simple mouton au service du berger et qui, par ce moyen, peu se permettre tout et n'importe quoi dans l'aveuglement général. Sans le savoir, l'homme se croit libre de travailler plus, alors qu'il y ait contraint et forcé. S'il travaillait moins, il serait plus libre de penser qu'en simplifiant sa vie il aurait moins l'obligation d'un travail qu'il pourrait laisser à d'autres et qui sont dans le besoin.
Il semble évident que rien n'empêche quiconque de travailler plus s'il le souhaite, sous certaines conditions bien sûr. Conditions qui me semblent largement jetée aux oubliettes.
1 - Que ces heures supplémentaires n'empiètent pas sur la liberté des autres et leur droit au travail. Dans une entreprise de 10 salariés, si chacun fait une heure de travail supplémentaire par jour tout au long de l'année, il devient évident que c'est du travail en moins pour une personne qui aurait pu faire ces heures. Le chef d'entreprise est roi au sein de son entreprise et nul ne peut lui dicter ce qu'il est raisonnable ou moral de faire ou non. Dans cet exemple, simple d'apparence, il ne viol donc aucune loi.
Allons plus loin dans la besogne pour découvrir qui est responsable d'un tel choix peu moral et où le profit, une fois de plus, est cause de bien des malheurs...
Le choix est donc donné à l'employeur, soit il embauche, soit il propose à son propre personnel des heures supplémentaires. Comme ces dernières sont déductibles des impôts, le choix économique prime sur la moralité, puisque d'embaucher une personne supplémentaire serait nettement plus coûteux. Voilà une des conséquences des décisions du gouvernement et qui, en temps de crise, n'aidera sûrement pas à faire baisser le chômage, bien au contraire.
Le peuple est poussé à la consommation, avec possibilité d'endettement presque illimité et ceci au plus grand bénéfice des grosses entreprises, créant ainsi des fin de mois difficiles et poussant ce peuple à toujours travailler plus. Un cercle des plus vicieux où l'homme ne devient plus qu'un robot matérialiste obnubilé à survivre coûte que coûte pour boucler ses fins de mois.
Plus il travail, moins il pense et moins il pense, plus il devient un simple mouton au service du berger et qui, par ce moyen, peu se permettre tout et n'importe quoi dans l'aveuglement général. Sans le savoir, l'homme se croit libre de travailler plus, alors qu'il y ait contraint et forcé. S'il travaillait moins, il serait plus libre de penser qu'en simplifiant sa vie il aurait moins l'obligation d'un travail qu'il pourrait laisser à d'autres et qui sont dans le besoin.