Prenons l’exemple du Président Sarkozy...
Elu sur des promesses électorales comme : travailler plus pour gagner plus ; que le chômage sera à un pourcentage proche du plein emploi en 2012 ; ou encore la stabilisation et la réduction des déficits, voilà que pour cause de retournement de conjoncture internationale, la mise en pratique des mesures qu’il instrumentalise se révèle être à l’opposer du programme sur lequel il a été élu...
Certains penseront que le pauvre n’a pas de chance vu qu’il a fait ses promesses sur l’état d’une croissance économie, et que cette croissance non seulement n’est pas au rendez-vous, mais qu’elle-même a une fâcheuse tendance à s’inverser façon non pas récession, mais dépression...
Certes, le Président Sarkozy, pas plus que ses prédécesseurs, n’est ni clairvoyant ni extra lucide, même si, prenant en considération le fait qu’il occupait depuis de nombreuses années de hautes fonctions au sein des précédents gouvernements, comme celui de ministre des Finances, il est difficile d’imaginer qu’il n’est pas été particulièrement bien informer par nos brillants spécialistes si grassement payés, sur les perspectives qui s’annonçaient déjà calamiteuses dès les années 2006- 2007, comme en témoignent certains rapports du FMI, que nos têtes d’oeufs ne pouvaient ignorer. Tout au plus pouvons-nous en déduire que si vouloir commander c’est nécessairement être en capacité de prévoir et d’anticiper, notre Président n’a pas manifesté une compétence particulièrement aigüe dans ce domaine... Ou, sachant fort bien les perspectives qu’un certain nombre de spécialistes ne participant pas à la propagande médiatique du : dormez tranquille braves gens, nous allons vers des lendemains radieux et paradisiaques, savaient comme inéluctables, il a préféré se faire élire sur des promesses qu’il savait par avance mensongères, comme un vulgaire camelot tentant de refiler ses pacotilles au prix exorbitant d’une valeur sûre...
Quoi qu’il en soit, nous devons constater que plus nous avançons dans la crise économique, moins les promesses du programme électoral présidentiel pourront être respecté.
Le respect des Droits de L’homme voudrait, conformément à l’article 3 de la DDHC qui stipule :
Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Que notre Président, devant mettre en application un programme diamétralement opposé à celui qui fonde la légitimité de son autorité, qu’il reconnaisse qu’il y a manifestement une situation entrainant une obligatoire adaptations à des circonstances nouvelles et différentes et qu’en conséquence, de part les dispositions de cet article 3, naturel, inaliénable, sacré et imprescriptible, il a l’obligation de se retourner vers le peuple, seul détenteur de la souveraineté nationale, afin d’obtenir de lui l’accord sur un nouveau programme présidentiel sans lequel accord il perd et son autorité et sa légitimité.
Voilà un exemple d’application politique au quotidien des dispositions de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.
Elu sur des promesses électorales comme : travailler plus pour gagner plus ; que le chômage sera à un pourcentage proche du plein emploi en 2012 ; ou encore la stabilisation et la réduction des déficits, voilà que pour cause de retournement de conjoncture internationale, la mise en pratique des mesures qu’il instrumentalise se révèle être à l’opposer du programme sur lequel il a été élu...
Certains penseront que le pauvre n’a pas de chance vu qu’il a fait ses promesses sur l’état d’une croissance économie, et que cette croissance non seulement n’est pas au rendez-vous, mais qu’elle-même a une fâcheuse tendance à s’inverser façon non pas récession, mais dépression...
Certes, le Président Sarkozy, pas plus que ses prédécesseurs, n’est ni clairvoyant ni extra lucide, même si, prenant en considération le fait qu’il occupait depuis de nombreuses années de hautes fonctions au sein des précédents gouvernements, comme celui de ministre des Finances, il est difficile d’imaginer qu’il n’est pas été particulièrement bien informer par nos brillants spécialistes si grassement payés, sur les perspectives qui s’annonçaient déjà calamiteuses dès les années 2006- 2007, comme en témoignent certains rapports du FMI, que nos têtes d’oeufs ne pouvaient ignorer. Tout au plus pouvons-nous en déduire que si vouloir commander c’est nécessairement être en capacité de prévoir et d’anticiper, notre Président n’a pas manifesté une compétence particulièrement aigüe dans ce domaine... Ou, sachant fort bien les perspectives qu’un certain nombre de spécialistes ne participant pas à la propagande médiatique du : dormez tranquille braves gens, nous allons vers des lendemains radieux et paradisiaques, savaient comme inéluctables, il a préféré se faire élire sur des promesses qu’il savait par avance mensongères, comme un vulgaire camelot tentant de refiler ses pacotilles au prix exorbitant d’une valeur sûre...
Quoi qu’il en soit, nous devons constater que plus nous avançons dans la crise économique, moins les promesses du programme électoral présidentiel pourront être respecté.
Le respect des Droits de L’homme voudrait, conformément à l’article 3 de la DDHC qui stipule :
Article 3 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Que notre Président, devant mettre en application un programme diamétralement opposé à celui qui fonde la légitimité de son autorité, qu’il reconnaisse qu’il y a manifestement une situation entrainant une obligatoire adaptations à des circonstances nouvelles et différentes et qu’en conséquence, de part les dispositions de cet article 3, naturel, inaliénable, sacré et imprescriptible, il a l’obligation de se retourner vers le peuple, seul détenteur de la souveraineté nationale, afin d’obtenir de lui l’accord sur un nouveau programme présidentiel sans lequel accord il perd et son autorité et sa légitimité.
Voilà un exemple d’application politique au quotidien des dispositions de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789.